Mathilde s'intéresse aux effets de la nutrition sur les performances des animaux terrestres, incluant les pollinisateurs. Récipiendaire de la bourse Liber Ero, elle est la chercheure en charge du projet. Elle a obtenu son doctorat en écologie et biologie de la conservation en milieu agricole de l'Université de Strasbourg (France) en 2017, après plusieurs années d'études en échange universitaire entre la France, le Québec et la Colombie-Britannique.